Voici mon nouvel avion...
Soumis par Vinc le lun, 15/03/2010 - 22:50.
Voici mon nouvel avion... qui à une envergure supérieur au Fouga magister de cprignon...
»
- Vous devez vous identifier ou créer un compte pour écrire des commentaires
- Thumbnail
- Promote
Voici le mien,
C'est clair ! A coté d'une ruche il y a toujours une autre ruche.
Le gros Vinc accompagné d'une autruche entre dans un bar. Le garçon arrive, le gars commande une bière et l'autruche aussi (comme on est dans une blague, personne ne s'étonne que l'autruche parle...).
Les bières arrivent et le garçon annonce que le prix est de 4 euros.
Vinc met la main dans sa poche et en sort exactement 4 euros.
Le lendemain, Vinc et l'autruche reviennent tous les deux. Le gars commande un porto et l'autruche un chianti. Le garçon apporte le porto et le chianti et annonce que cela fait 8 euros.
Le gars plonge sa main dans sa poche et en sort exactement 8 euros.
Ce petit manège se poursuit quelques temps et le gars sort toujours la monnaie exacte pour payer les consommations. Le garçon, étonné, fini par demander au gars :
- Comment il se fait que vous ayez toujours le montant exact des consommations dans votre poche ?
Vinc répond :
- C'est très simple. Il y a quelques semaines, j'ai rencontré un génie, je lui ai rendu service en le délivrant d'une lampe et en récompense, le génie m'a promis d'exaucer deux souhaits. Le fameux 3eme voeu étant pris par les taxes gouvernementales...
- Ah ouai ? Et s'était quoi vos 2 souhaits ?
- Le premier souhait que j'ai demandé, c'était d'avoir toujours dans mes poches l'argent nécessaire pour payer toutes mes dépenses, qu'il s'agisse d'une Rolls-Royce ou d'une bière Je voulais avoir toujours l'argent dans ma poche.
- Oui ! Bravo ! Vous êtes donc un homme heureux et riche !
- On peut le voir comme ça, répond le gars avec un sourire.
- Mais, votre autruche ? C'est quoi ? poursuit le garçon.
Le gars, en baissant les yeux fait :
- Ben, c'est mon deuxième souhait... Je voulais une poulette aux longues jambes fuselées qui ne me quitte jamais. Alors voilà...